Blog de Planète Découverte
+33 9 86 76 66 15
Planète Découverte vous emmène au Japon, le pays du Shintoïsme.

Torii sur l'île de Miyajima (porte Shintoïste du Japon!)
Torii sur l’île de Miyajima (porte Shintoïste du Japon)

Planète Découverte vous emmène au Japon,

le pays du Shintoïsme.

 

Avant de boucler nos valises pour l’archipel nippon, nous vous proposons – afin de préparer ce voyage adéquatement – de revenir à l’essence même du Japon : le Shintoïsme !

Toujours pratiqué par plus de 70% de la population, il fait partie du quotidien des Japonais depuis des temps immémoriaux. Le Shintoïsme et ses Kamis (divinités ou esprits) rythment leur vie de la naissance à la mort, ils sont présents dans tous les moments de leurs existences qu’ils soient futiles ou capitaux, ils sont invoqués tant pour trouver l’amour que pour réussir des études ou pour faire prospérer des entreprises. Ils réconfortent face aux puissances effrayantes et destructrices de la nature (typhons, tremblements de terre…), ils sont partout dans l’Univers, dans les temples, les maisons, les industries, dans l’esprit des morts et l’Empereur lui-même en est l’incarnation…

 

Déesse Amaterasu, lumière céleste
Déesse Amaterasu, lumière céleste

Le Shintoïsme ou shinto (神道, shintō, littéralement « la voie des dieux » ou « la voie du divin ») est à la fois une religion et une philosophie de vie qui mélange des éléments polythéistes, chamaniques et animistes.

Il compterait actuellement plus de 100 millions de fidèles repartis presque exclusivement dans l’archipel nippon. Il a su s’adapter, cohabiter et coexister face aux autres courants religieux venus d’ailleurs, comme le confucianisme, le bouddhisme ou encore le taoïsme. À la différence de ceux-ci, le Shintoïsme est une religion autochtone, sa naissance remonte aux origines du peuplement des îles japonaises.

 

Moines et nonnes Shintoïstes
Moines et nonnes Shintoïstes

Le Shintoïsme est une religion sans fondateur, ni dogme, ni code moral, ni commandements, ni doctrine. Il est basé sur le respect des Kamis (des esprits) qui sont honorés, beaucoup plus qu’adorés. À proprement parler, ils ne sont pas vénérés, mais il faut s’assurer de leur protection et de leur bienveillance. Il faut en prendre soin et surtout ne pas les froisser, car ils peuvent être à la fois bons et mauvais. Attention, si vous vexez un Kami, il faut alors procéder à des rites de purification pour que l’ordre des choses soit rétabli.

 

Tengu, Kami des montagnes et des forêts
Tengu, Kami des montagnes et des forêts

Les Kamis (il en existerait autour de 8 millions) sont des esprits présents dans toutes choses : dans les forces terrestres comme dans les puissances célestes, dans les végétaux comme dans les minéraux. Certains lieux sont ainsi sacrés et considérés comme des Kamis, par exemple certaines cascades ou certains rochers. Le mont Fuji, en plus d’être le symbole de la nation japonaise, est considéré comme un Kami…               À travers eux, c’est la puissance et les caprices de la nature que les croyants tentent d’apprivoiser.

Fuji San ou Mont Fuji
Fuji San ou Mont Fuji

Un Kami qui a connu une renommée tristement célèbre est le « Kamikaze » ! Son origine remonte au XIIIe siècle, époque où des hordes de Mongols balayèrent l’Asie et fondèrent un empire qui s’étendait de l’Europe orientale jusqu’en Corée. Après la chute de la Chine impériale, les Mongols commencèrent à regarder plus loin vers l’est, vers le Japon. Les Mongols tentèrent à deux reprises d’envahir l’archipel Nippon, mais à chaque fois un typhon détruisit une grande partie de leur flotte et les envahisseurs en déroute durent regagner le continent. Ils n’attaquèrent jamais plus le Japon. Ce typhon fut appelé kamikaze « le vent divin ou l’esprit du vent » – et devint le symbole de la victoire dans l’esprit des Japonais. Le mot fut repris vers la fin de la Seconde Guerre mondiale par les pilotes japonais qui dirigeaient délibérément leurs avions sur les bateaux ennemis qu’ils frappaient de plein fouet…

 

Entrée d'un sanctuaire Shintoïste à Nikko
Entrée d’un sanctuaire Shintoïste à Nikko

Le Shintoïsme, à travers ses traditions, ses coutumes et ses légendes, établit une mythologie qui légitime le pouvoir des empereur japonais.
Selon la légende : Deux divinités, Izanagi et Izanami (qui étaient frère et sœur), créèrent un monde constitué de toutes les divinités de la nature, notamment Amaterasu (déesse du Soleil), Tsukiyoni (dieu de la lune) et Susanoo (dieu de la tempête) … Plus tard, Ninigi, le petit fils d’Amaterasu, sera à l’origine de la lignée des empereurs qui incarneront les seuls Kamis humains.

À la demande de l’empereur, cette mythologie a été rédigé au VIIIe siècle dans deux ouvrages appelés le Kojiki et le Nihon-shoki qui forment les Chroniques japonaises. Ces « chroniques » insistent sur l’origine divine des empereurs et justifient ainsi son pouvoir !

En 1868, le pouvoir impérial s’imposera aux Shoguns (seigneurs de guerre) et en 1871, le Shintoïsme devient alors la religion officielle de l’état japonais. En 1945, après la Seconde Guerre mondiale et la capitulation du Japon, l’empereur Hirohito dû renoncer à se prétendre d’origine divine ainsi qu’à la plupart de ses pouvoirs politiques et le Shintoïsme perdit ainsi son statut de religion d’état.

Baril de saké, nectar des dieux
Baril de saké, nectar des dieux
Prêtre Shintoïste
Prêtre Shintoïste

 

Au Japon, Shintoïsme et Bouddhisme exercent encore aujourd’hui une influence d’égale importance, d’autant qu’ils ne s’excluent pas l’un l’autre et cohabitent souvent dans les mêmes temples. La plupart des Japonais sont à la fois shintoïstes (pour les grands événements de la vie comme la naissance, le mariage…) et bouddhistes (pour la mort et les cérémonies funéraires).

 

Rites Shinto essentiels comme la visite d’un sanctuaire, que nous ferons au cour des circuits, doit suivre trois étapes successives :
– la purification dans la fontaine placée devant le temple où les fidèles se lavent les mains et se rincent la bouche, purifiant ainsi leur corps à l’intérieur et à l’extérieur.
– le don d’offrandes (quelques Yens, des fruits, du Saké…)
– et la récitation de prières et/ou la sollicitation du vœu.

Jeune fille en kimono devant un petit autel shintoïste
Jeune fille en kimono devant un petit autel shintoïste

Les sanctuaires ne sont pas que des lieux de prières, ce sont aussi des lieux de fête shinto – appelées Matsuri 祭り- et de divertissements destinés à réjouir les Kamis.

Encore aujourd’hui le Shintoïsme est omniprésent dans la société japonaise : dans les représentations et les spectacles comme le théâtre Nô ou le Kabuki, dans les danses Nihon Buyo ou dans le Buto, dans les sports comme le Sumo ou le tir à l’arc (kyūdō). Dans les grandes entreprises, même les plus modernes où la coutume veut qu’elles offrent des Torii (portique ornemental de couleur rouge) aux sanctuaires pour que leurs affaires soient fructueuses. Dans les alcools, comme le saké qui est le « nectar des dieux shinto » consommé en plus ou moins grande quantité pendant les Matsuris. Dans tous les foyers comme dans tous les quartiers, on trouve des autels dédiés à un ou plusieurs Kamis !

 

 

Torii du sanctuaire de Fushimi Inari près de Kyoto
Torii du sanctuaire de Fushimi Inari près de Kyoto

 

Pendant votre voyage au Japon, vous les rencontrerez à maintes reprises, car ils sont incontournables !

 

 

 

 

 

Pierre B

La Calligraphie japonaise

Découverte de la calligraphie japonaise en circuit
La Calligraphie, un art japonais !

La Calligraphie japonaise

 

La calligraphie appelée « Shodo » – l’art de la « belle écriture » – est considéré au Japon et en Orient comme un art majeur. Shodo signifie la voie de la Calligraphie japonaise (Sho pour calligraphie et do pour la voie). C’est une des « voies » menant vers la compréhension du sens de la vie et des vérités éternelles.
Cet art est aussi une « science » qui exige une connaissance approfondie du style et de la manière de tracer les signes d’une écriture! Cette pratique, dont l’origine se perd dans la nuit des temps, les civilisations orientales la considèrent souvent comme un art initiatique et philosophique, voire même ésotérique. En effet, le pinceau et le trait sont étroitement liés à la pensée et la philosophie. Par le « trait du pinceau » tracé par l’artiste (l’élément central de la calligraphie) s’incarne le processus dans lequel l’homme dessinant rejoint les gestes de la Création. Pour la philosophie Zen le papier blanc personnifie le vide, les signes noirs le plein, le Yin et de Yang de la dualité et la complémentarité, du féminin et du masculin…

yin-yang
yin-yang

Dans la calligraphie japonaise il n’y a rien de fortuit, chaque ligne et chaque point sont importants ; la direction, la forme et la finesse des lignes, la balance entre les éléments, et même l’espace vide sont porteurs de sens. Elle incarne la recherche du beau, l’harmonie et l’élégance pour procurer une jouissance esthétique et une sagesse millénaire. À travers les travaux calligraphiques s’exprime le rapport entre simplicité et élégance, un des principes de base de l’esthétique japonaise « Wabi-sabi ».

Découverte de la calligraphie japonaise en circuit
Pratiquer l’art du Shodo au Japon !

La calligraphie japonaise est une des pratiques Zen, comme le Chado (la cérémonie du thé), l’ikebana (l’arrangement floral), le budo (la voie des arts martiaux japonais : karaté-do,  judo, aïkido et kendo)… La pratique du shodo s’avère primordiale pour les maîtres de la cérémonie du thé qui étudient la calligraphie aussi longtemps et soigneusement que l’action du thé. Il en va de même pour les maitres des arts martiaux qui se servent de l’écriture pour transmettre et démontrer leur aptitude.

Pour pratiquer son art, le calligraphe utilise des pinceaux (fude) généralement en bambou et la pointe en laine ou en poil de blaireau. L’encre est produite en frottant un bâton d’encre de Chine (sumi: amalgame de noir de carbone, ou de suie, et de colle) dans le creux d’une pierre à encre (suzuri) rempli d’eau. Le papier approprié est le papier de riz japonais appelé hanshi.

Découverte de la calligraphie japonaise en circuit
Pratiquer l’art du Shodo au Japon !

Kûkai, dit Kôbô Daishi

Kûkai, dit Kôbô DaishiSelon une ancienne légende chinoise, la calligraphie japonaise aurait été inventée par Cang Jie, un ministre de l’Empereur jaune (IIIe millénaire av. J.-C.), lui-même mythique inventeur des caractères chinois. Cet art arrivera au Japon en même temps que les idéogrammes chinois au VIe siècle. Ils furent rapportés par des moines qui allaient étudier le Bouddhisme en Chine. Ces mêmes moines furent les premiers à pratiquer cet art au Japon à partir des textes bouddhiques rédigés en Chinois.

Selon une légende, de grands calligraphes comme Kûkai, dit Kôbô Daishi (774-835), le saint fondateur de l’école bouddhiste Shingon, aurait, munie d’un pinceau dans chaque main, d’un pinceau entre ses dents et d’un autre à chaque pied, exécuté une œuvre sublime qui impressionna l’empereur du Japon.
Ces maitres Zen vont donner au Shodo ses lettres de noblesse et en faire un art reconnu. La pratique de la calligraphie va donc se répandre parmi les lettrés de la cour impériale, elle est étudiée par les aristocrates et les samouraïs à partir du Xe siècle.

Au cœur de l’ère Heian (794-1185), les calligraphes japonais commencèrent à inventer des styles proprement japonais sur la base des canons de la calligraphie chinoise. Ils créèrent un style basé sur les kana (caractères des deux syllabaires japonais, l’hiragana et le katakana).
De l’époque Kamakura (1185-1333) à l’ère Meiji (1868-1912), l’art de la calligraphie continue à se développer au Japon. De nos jours, l’art de la calligraphie est toujours très en vogue. On la pratique à tous âges, dans tous les milieux et il existe même de nombreux concours de calligraphie, notamment dans les écoles.

Shodo
Shodo

La pratique de la calligraphie japonaise n’a pas que pour but le développement d’une belle écriture suivant une graphie standardisée des lettres comme en Occident. L’art de la calligraphie japonaise (Shodô) vise à donner vie aux idéogrammes d’origine chinoise et aux kana (signes japonais) en leur conférant du caractère. Cette approche orientale de l’art calligraphique ne fait donc pas seulement appel à l’habileté manuelle, mais aussi à la créativité individuelle. Au pays du Soleil Levant, c’est un des Beaux-Arts les plus populaires.

 

« Le calligraphe et sa calligraphie mûrissent ensemble ».
Sun Guoting
Découverte de la calligraphie japonaise en circuit avec Pascal
Carnets Japonais

 

 

 

 

Suivez-nous au Japon pour vous initier à cet art millénaire.

Bon voyage avec nous.

 

 

Pierre

Voyage au Japon, expérience de la civilité japonaise

Voyage au Japon, expérience de la civilité japonaise

Lors d’un voyage au Japon !

 

que j’accompagnais pour Planète Découverte, il nous est arrivé une chose peu banale.  À peine débarqués d’un ferry en provenance de l’île de Kyushu, et après les visites des sites majeurs de Tokyo et Kyoto, nous nous retrouvons, le petit groupe et moi, dans le hall de la gare de Yawatahama sur l’île de Shikoku, deuxième îles de notre voyage au Japon.

Paysage de l'île de Shikoku, voyage accompagné au japon
Paysage de l’île de Shikoku. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

 

Après une attente en file indienne et en bon ordre suivant l’usage local, nous embarquons dans le train «Limited express Uwaïkaï 24». Nous nous installons plutôt confortablement, pour admirer les paysages, tout en respectant scrupuleusement le numéro de nos places, pour un trajet d’exactement 52 minutes. Les trains ne sont pratiquement jamais en retard au Japon et c’est un bon moyen d’y voyager !

 

 

 

Voyage au Japon-ile sud-civilite japonaise-hall de la gare de Yawatahama
Décor étonnant dans le hall de la gare de Yawatahama. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

Nous étions partis depuis un bon quart d’heure quand un des participants de notre voyage au Japon («Le pays du soleil levant et ses îles du sud», vient me voir pour m’annoncer quelque peu affolé qu’il a oublié son petit sac de voyage qui ne contient rien de moins que ses papiers, son argent et autres effets indispensables à tous voyageurs ! Après lui avoir dit un peu perplexe, qu’il y avait certainement une solution, je m’en vais quérir la contrôleuse, en espérant qu’elle  aura une solution !

Je l’aperçois alors dans le wagon d’à côté et pars à sa rencontre. Nous nous saluons respectueusement comme il se doit au Japon et je lui explique, avec nos quelques mots et gestes communs, la situation «critique» dans laquelle se trouve un voyageur distrait. Elle m’accompagne vers le «passager distrait», le salue (bien sûr) et commence avec mon aide à lui poser des questions sur la couleur, la taille et autres signes distinctifs de son petit sac oublié. Elle se retourne ensuite vers moi et se lance dans une explication sur la façon dont elle va procéder dans sa quête du sac oublié. Explications dont je ne comprends pas tout à fait toutes les subtilités, mais en tout cas, on peut en déduire qu’elle a un plan pour retrouver le sac. J’explique au «monsieur distrait», appelons-le ainsi, que la respectueuse contrôleuse du train «Limited express Uwaïkaï 24» va téléphoner, se renseigner…  bref lancer des recherches.

Voayge au Japon-ile sud-civilite japonaise-Limited express train
Limited express train. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

Ce qui semble calmer, mais modérément, les inquiétudes du «monsieur distrait»!

De temps en temps, elle vient nous voir souriante et rassurante pour nous faire comprendre que les recherches avancent. Ce qui apporte chaque fois un vent d’espoir au monsieur distrait !
Peu avant d’arriver à la gare de notre destination du jour sur notre voyage, la contrôleuse vient nous trouver et nous invite à la suivre sur le quai. Nous descendons donc à suite. Et là, un étrange ballet se déroule devant nos yeux! La contrôleuse japonaise fend la foule d’un pas rapide et sautillant, sans oublier son sens du devoir et de la politesse, car, sans vraiment s’arrêter, elle prend le temps de répondre aux questions des nombreux Japonais sur le quai, car ceux-ci ont besoin de renseignements comme partout dans toutes les gares du monde, sans jamais oublier sa mission de nous guider vers un endroit qui reste encore pour nous mystérieux! Nous finissons par arriver devant un guichet, qui semble être le but de cette course sur le quai de la gare. Là, en peu de temps, elle dit quelques mots polis et explicatifs à la guichetière qui semble tout comprendre à la situation. Puis elle se tourne vers moi et me fait comprendre que la dame derrière le guichet va prendre le relais de la recherche du sac perdu, et elle s’en va retrouver son train, ses contrôles, ses passagers non sans quelques salutations, courbettes et sourires à la japonaise.

Voyage au Japon-ile sud-civilite japonaise-gare-Matsuyama
Sur le quai de la gare de Matsuyama. Photo de Pierre sur notre voyage au Japon de 20 jours.

Un peu perplexes, nous voilà donc devant la guichetière, qui nous salue et nous annonce de but en blanc, que le sac oublié arrivera par le train de 20 h 32 et que l’on peut venir le récupérer ici même, ce soir ou demain !

L’efficacité nippone avait une nouvelle fois frappée, il en faudrait plus pour perturber notre voyage au Japon !!!

La contrôleuse du train avait appelé la gare de Yawatahama qui avait appelé la gare de Matsuyama pour lui indiquer qu’un employé de la gare de Yawatahama était allé voir s’il y avait un sac seul et abandonné dans le hall de la gare. Il était bien là, personne ne l’avait touché et encore moins volé! L’employé de la gare de Yawatahama avait mis le sac perdu dans le train suivant à destination de la gare de Matsuyama où nous devions descendre. Simple et efficace, comme souvent au Japon !

À 20h32, le sac est bien arrivé en gare de Yawatahama et son propriétaire rassuré et heureux a pu continuer son circuit en se jurant qu’il ferait plus attention la prochaine fois!

Voyage au Japon-ile sud-civilite japonaise
Vue du train, moyen de locomotion très utilisé lors de nos Voyage au Japon. Photo de Pierre sur notre circuit au Japon de 20 jours.

Il faut dire qu’au Japon le vol est inusité et il n’est pas rare de voir, lors d’un voyage au Japon, des Japonais laisser leurs sacs, valises, bagages… sans surveillance dans le métro ou dans les rues; de voir des vélos déposés nonchalamment devant une épicerie pendant que son propriétaire va faire une course. S’en dégage un sentiment très agréable de sécurité et de relâchement que l’on a perdu dans nos pays des soleils couchants ! À tel point que souvent lorsqu’un voyageur passe trop de temps en pays nippon, il risque d’éprouver à son retour une peur panique devant l’agressivité ambiante et le manque de savoir-vivre.

 

Partez au Japon avec Planète Découverte et découvrez nos voyages inédits et originaux comme «le pays du soleil levant et ses îles du sud»

 

Pierre B